Quels sont les revenus imposables en Belgique ?

Les revenus imposables concernent généralement les revenus qui sont assujettis au barème progressif de l’IR. En effet, ceux-ci peuvent porter sur le revenu des personnes physiques ou le revenu des personnes morales ou encore celui des autres entités similaires. Sur ce, faut-il mieux comprendre les différentes catégories de revenus imposables Belges ?

Spécificités des différents revenus imposables en Belgique

D’abord, le régime fiscal en Belgique peut être défini comme l’ensemble des décisions relatives à la fiscalité prises par le pouvoir public compétent. Puis, les différents revenus imposables Belges (tels que le revenu professionnel, le revenu mobilier et le revenu immobilier) sont soumis à un système de précompte ou stoppage à la source. De plus, pareillement au régime fiscal moderne, la fiscalité en Belgique impose différemment les 3 principaux contribuables suivants : les personnes physiques, les personnes morales et les sociétés. Aussi, l’imposition Belge est répartie en 2 grandes catégories, à savoir : l’impôt direct (IPP, IS, IPM, INR, etc.) et l’impôt indirect (DE, TVA, droit des successions). Enfin, il s’agit d’un impôt progressif dont le taux d’imposition varie selon le montant de la somme.

Avantages du régime fiscal en Belgique

Il existe 3 principaux avantages en matière de fiscalité Belge. À savoir notamment : la dépense déductible, la réduction d’imposition et le crédit d’impôt. En effet, la dépense déductible est une déduction des revenus nets imposables pour des dépenses réalisées durant une période imposable. Par contre, certaines dépenses peuvent bénéficier d’un avantage fiscal sur un certain moment et ce, à concurrence d’un certain plafond. Enfin, le crédit d’impôt peut concerner d’autres impositions (impôt négatif) non compris dans le cadre de l’impôt dû.

Différents types de revenus imposables en Belgique

Il existe différents types de revenus imposables caractérisant le régime fiscal Belge. À savoir notamment : le revenu immobilier, le revenu mobilier, le revenu professionnel et entre autres.

De primes abords, le revenu immobilier relève des biens immobiliers (appartement ou maison ou terrain ou autre) appartenant à un emphytéote ou possesseur ou propriétaire ou superficiaire ou l’usufruitier et non définis comme revenu professionnel ou divers. Toutefois, celui-ci doit être mentionné dans la déclaration et déterminé sur la base du loyer ou du revenu cadastral. Par contre, le revenu mobilier concerne les droits d’auteur, le droit de licence, le droit voisin, les dividendes, les intérêts de carnet d’épargne, les rentes viagères ou temporaires, les redevances, les comptes bancaires, les actions, les obligations, les prêts, les parts d’organisme de placement et entre autre. Puis, le revenu professionnel est composé des revenus de placement (allocation chômage, indemnité assurance maladie, prépension, pension, etc.) ou des rémunérations (salaire, avantage de toute nature, RTDT, etc.)…